SOMMAIRE
1. La rentrée d’Acrimed
2. Sur le site d’Acrimed
3. Sur d’autres sites
Comme les années passées et une fois de plus grâce à la mobilisation de ses adhérent·e·s, Acrimed participera à la Fête de l’Humanité !
Vous pourrez retrouver notre stand du vendredi 13 au dimanche 15 septembre au Village du livre. Nous participerons également à des débats :
– Samedi 14 septembre, 11h au stand Info’Com-CGT. Débat sur le thème : « Facebook et Google menacent l’existence de l’information ».
– Samedi 14 septembre, 12h au Village du livre. Rencontre-débat avec Mathias Reymond, auteur de « Au nom de la démocratie, votez bien ! » Retour sur le traitement médiatique des élections présidentielles de 2002 et 2017.
– Dimanche 15 septembre au stand du PCF 49. Débat sur le thème : « Les médias et le pouvoir » (sous réserve).
Au programme, aussi, de cette rentrée : le festival de cinéma « Images mouvementées », organisé par Attac du 19 septembre au 3 octobre à Paris. Acrimed est associée à cette édition 2019 qui a pour thème « Médias : armes de manipulation massive ? ». Premier rendez-vous le jeudi 19 septembre, 20h, au cinéma Les 5 Caumartin, pour une projection du film « Les Nouveaux chiens de garde », suivie d’un débat avec Frédéric Lemaire et Yannick Kergoat. Toutes les informations sur le site du festival.
– Les élucubrations de Stéphane Bern sur l’école au Moyen Âge (04/09) – L’histoire une nouvelle fois mal traitée sur France Télévisions.
– Photojournalisme : cinq ans après, le code Brun-Buisson n’a rien réglé (03/09) – Un communiqué signé par la Saif, la Scam, l’UPP, le SNJ, le SNJ-CGT, et la CFDT-Journalistes.
– Patricia Chapelotte : ascension médiatique d’une communicante en marche (02/09) – Le journalisme de commentaire au service des professionnels de la communication.
– Les jeux de l’été d’Acrimed (2) : tweeté ou pas tweeté ? (30/08) – Saurez-vous distinguer les vrais et les faux tweets de vos éditocrates préférés ?
– Filmographie - Des documentaires sur les médias et le journalisme (8) : de P à Q (16/08) – Plus précisément : de « Le Pacte fragile » à « Qui sème la misère récolte la rage ».
– Incendie de Notre-Dame : quand France Info balayait d’un revers de main le danger lié au plomb (14/08) – La « vérification » d’un sujet sensible par France Info se révélant… erronée.
– Lire : « Journaliste : auteur ou fournisseur de contenus ? » (12/08) – Une enquête de la Scam.
– « Malik Oussekine n’a pas reçu de coups de la police » : la fake news d’un directeur du Figaro (08/08) – Lundi 5 août, le directeur adjoint du Figaro Magazine assenait plusieurs contrevérités sur la mort de Malik Oussekine sans être jamais contredit.
– Mort de Steve Maia Caniço : Dominique Rizet au secours de l’IGPN (07/08) – Journalistes du service police-justice en service commando.
– Une législation contre - ou pour ? - la concentration des médias (05/08) – Retour critique sur les lois anti-concentration mises en œuvre depuis 1944.
– Les jeux d’été d’Acrimed (1) : les mots croisés médiatiques ! (01/08) – Un peu de détente...
– La mise au pas des médias par Patrick Drahi et Vincent Bolloré (29/07) – L’autoritarisme des propriétaires de médias.
– Concentration des médias français : le bal des vampires (26/07) – « Médias français, le grand Monopoly ».
– Grève à Radio France : entretien avec Lionel Thompson (SNJ-CGT) (22/07) – Retour sur la mobilisation du 18 juin à Radio France.
– Les médias au prisme de l’immigration (vidéo) (19/07) – Enregistrement de notre lundi d’Acrimed avec le sociologue Rodney Benson.
– La Macronie sait récompenser ses serviteurs : Claude Perdriel promu officier de la légion d’honneur (18/07) – À ses soutiens zélés le pouvoir reconnaissant.
– Importante victoire des salariés de Mondadori France (16/07) – Un communiqué de l’intersyndicale de Mondadori France, célébrant une première victoire contre le projet de revente du groupe de presse à Reworld Media.
– Actualité des médias : confiance dans les médias en berne, Duhamel et Fogiel à BFM-TV, grève à Radio France... (16/07) – Du côté des programmes, des informations et des entreprises médiatiques.
– Mort lors d’une expulsion : « circulez il n’y a rien à voir » selon l’AFP (15/07) – Un monument de journalisme de préfecture par l’AFP.
– Quand Léo Ferré soutenait La Cause du Peuple en chanson (14/07) – "Comme si je vous disais que le pays qui s’en prend à la liberté de la presse est un pays au bord du gouffre".
– Thierry Ardisson, ou les lamentations d’un baron de la télévision (08/07) – Le producteur millionnaire, les porte-cartes Hermès, et « les mouches » de la télévision populaire.
– La loi « haine » va transformer Internet en télévision (04/07) – Une tribune de La Quadrature du Net qui alerte sur les dispositions de la loi « contre la haine en ligne ».
– Qui est journaliste ? Mobilisation de quelques garde-frontières contre des intrus (02/07) – Journalisme et militantisme : les indignations sélectives des experts.
– Les copies du bac prises en otage par une minorité agissante en voie de zadisation (blog de Samuel Gontier, 01/07) - « "Jusqu’où peut aller l’exercice du droit de grève ?", s’inquiète David Pujadas. "La polémique est vive après la décision de certains enseignants grévistes de ne pas rendre les copies du bac qu’ils ont eues à corriger. Jean-Michel Blanquer parle de ’sabotage’." "Le terme sabotage n’est pas faux", réagit Serge Raffy. Même si celui d’attentat conviendrait mieux. »
– « Ces migrants qui gâchent nos vacances » : l’indécence à son comble (Le Vif.be, 15/07) - « Dans cette séquence, l’indécence et l’inhumanité prédominent. Plutôt que de s’attarder sur l’essentiel - des vies humaines ont été arrachées au cours d’une tragédie en mer -, tout est pensé pour focaliser l’attention des téléspectateurs sur la réaction d’une touriste belge parce que les corps ont échoué précisément sur la plage où elle passait ses vacances. »
– La Décroissance, ce journal que nous n’achèterons pas (Rebellyon, 27/07) - « Le journal « La décroissance, journal de la joie de vivre » édité à Lyon, lié à l’association Casseurs de pub, se veut un journal critique de la consommation, prônant une société de partage et de sobriété. Mais ce partage ne se veut pas avec tout le monde. Cela fait de nombreuses années que ce journal diffuse des propos sexistes, homophobes, transphobes, anti-féministes, autoritaires et j’en passe. »
– Quand des éditorialistes utilisent une étude loufoque pour déplorer la "fuite" des millionnaires de France (Marianne.net, 16/08) - « Le cabinet s’appuie donc sur des entretiens avec son propre panel de 150 000 millionnaires, plutôt que des statistiques brutes fournies par chaque Etat, pour tirer des conclusions sur le comportement des très riches. "Par exemple, si 30% des HNWI [("High-net-worth individual", particulier très fortuné en français)] dans notre base de données britannique vivent à Londres, cela veut dire que Londres accueille 30% des HNWI du Royaume-Uni", indique NWW. L’ennui, c’est que s’agissant de l’exode fiscal, cette méthodologie ne résiste pas à l’épreuve des faits, comme l’a notamment démontré @fipaddict, un enseignant en économie et finances publiques, sur Twitter. »
– De l’interprétation d’un dessin d’actualité (Blog Castagne de Jean-Noël Lafargue, 17/08) - « On parle de réchauffement climatique ? Le dessinateur pense à l’Islam. Des jeunes africaines sont enlevées par des membres d’une secte islamiste auxquels elles sont mariées de force ? Le dessinateur pense aux Allocations familiales. Un enfant de trois ans dont la famille fuit la guerre meurt noyé en Méditerranée ? Riss pense aux délinquants sexuels en Allemagne. »
– Jean-René Huleu et Jean-Claude Vernier : "Le journal Libération tel qu’il est aujourd’hui est exactement à l’inverse de celui que l’on voulait faire à l’époque" (Les Nuits de France Culture, 09/08) - Rediffusion d’une émission de 1993. « Je suis parti de ’Libération’ exténué, il était temps que j’en parte. Il y a eu des moments très drôles, très amusants dans les débuts de ’Libération’ mais beaucoup de moments dramatiques, et humainement dramatiques, parce que la lutte pour le pouvoir est souvent impitoyable et il y a des gens assez jeunes qui ont été broyés. »
– “Quel est le problème avec la galanterie, Ivan Jablonka ?” Salamé et Demorand parlent de féminisme... et c’est affligeant (Télérama.fr, 29/08) - « Très vite les questions des intervieweurs semblent accusatrices, presque moqueuses. "Vous écrivez qu’il faudrait une nuit du 4 août [1789, date de l’abolition des privilèges, ndlr ], où collectivement les hommes renonceraient à leurs privilèges. Carrément, une nuit du 4 août ?" s’étrangle Léa Salamé, avant de demander quels sont les privilèges des hommes. »