SOMMAIRE
1. Médias français, le grand Monopoly : sortie du Médiacritique(s) n°32
2. Sur le site d’Acrimed
3. Sur d’autres sites
Le n°32 de Médiacritique(s), notre magazine trimestriel, va sortir de l’imprimerie. Un numéro sur le thème « Médias français, le grand Monopoly », avec des articles inédits, des dessins de Colloghan, les jeux de l’été et... la carte « Médias français, qui possède quoi » en cahier central et détachable !
Vous pouvez vous abonner ou vous le procurer sur notre boutique en ligne ou bien remplir le bulletin en pdf et nous le renvoyer avec un chèque.
– Les obsessions islamiques du Point (et de Franz-Olivier Giesbert) (29/06) - Le Point et son éditocrate (à nouveau) en plein délire islamophobe.
– Non au détricotage de la loi sur la liberté de la presse (communiqué intersyndical) (27/06) – Communiqué SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes, SGJ-FO.
– Quand la presse portait Macron au pinacle – et au pouvoir (24/06) – Extrait de notre livre « Au nom de la démocratie, votez bien ! » qui revient sur l’entre-deux-tours de l’élection présidentielle 2017.
– Appel à dons : le compte n’y est pas… Acrimed a encore besoin de vous ! (21/06) – L’objectif n’est pas encore rempli…
– Christophe Barbier, ou les leçons de journalisme d’un éditocrate militant (21/06) – Christophe Barbier ose tout, c’est même à ça qu’on le reconnaît.
– Dessine-moi les médias : gilets jaunes et mépris médiatique (20/06) – Médias et gilets jaunes, par Mathieu Colloghan.
– Le traitement de l’information par les médias à l’heure des gilets jaunes (Fréquence Paris Plurielle) (19/06) – Samedi 18 mai, Acrimed était invité sur Fréquence Paris Plurielle.
– Le Monde se transforme en dépliant publicitaire… et s’en félicite (17/06) – Misère de la presse quotidienne nationale.
– Le Parisien atteint par des tirs de LBD ? (15/06) – Abus de titraille.
– Médias : le risque du vase clos (Libération.fr, 19/06) - « En exerçant cette forme de solidarité, cette pratique de la reconnaissance mutuelle, pas nécessairement de façon consciente, les journalistes du cœur médiatique gardent la mainmise sur la structuration de l’espace public. Le bienfait évident : ils érigent une barrière à l’entrée du club, contrariant l’émergence de sites d’information qui ne seraient pas fiables et verseraient dans le complotisme ou la désinformation. Le défaut : en accordant si peu d’attention à ces satellites, donc aux revendications et thématiques politiques qu’ils tentent d’imposer, l’élite médiatique est susceptible de passer à côté de préoccupations pourtant bien réelles et d’alimenter au sein de la population un soupçon de déconnexion. »
– Violences policières : bombe à retardement médiatique (Blog Mediapart, 26/06) - « Les rédactions de la presse quotidienne nationale ont ainsi couvert le sujet au coup par coups et n’ont pas jugé bon de consacrer une rubrique qui assurerait une régularité de traitement à ce sujet. Le Monde attendra son édition du 13 mai avant de placer en Une du journal l’existence de "violences policières", et de leur consacrer une enquête. Un manque de réactivité et de précision du contexte, qui ne passe pas du côté des manifestants. »
– Arbitrage vidéo : « La Coupe du monde sonne l’heure d’une prise de conscience douloureuse » (LeMonde.fr, 24/06) - « On annonçait une nouvelle dramaturgie, du suspense et des rebondissements, on assiste à un piètre vaudeville ou au mauvais spectacle d’un magicien qui sort des décisions de son chapeau. Echec complet, aussi, quant à la promesse qu’il y aurait moins de contestations, de polémiques et d’accusations de favoritisme. »
– RT, la chaîne russe qui bouscule les médias français (Vanity Fair, 19/06) - « Plus j’écoutais leur récit, plus se dessinait un système inédit, passionnant et terrifiant, où "l’information" n’a de valeur que si elle suscite de l’indignation, et peut ainsi se répandre comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. »
– Quand Le Point grignote la rigueur et la déontologie journalistiques (Le cercle des enseignants laïques, 24/06) - « La laïcité n’est donc en rien "grignotée" comme le prétend Le Point. Et il n’y a rien "d’exclusif" à cette pratique. Elle est courante et conforme au droit en vigueur qui définit le cadre juridique de la laïcité. La vérification de ce fait nous a pris trente secondes, trente secondes que Nadjet Chérigui n’a pas daigné prendre. Il est vrai que la journaliste est coutumière du fait : c’est à elle que l’on doit un dossier sur Saint-Denis dans laquelle s’accumulaient, en mai 2016, des contre-vérités islamophobes facilement réfutables. »