Pendant la campagne référendaire de 2005 sur le Traité constitutionnel européen
(1) La publication de sondages favorables au non mobilise les commentateurs. Ainsi, le 22 mars, quatre « régionaux » se sont penchés sur le berceau du sondage qui disait « non » à 51% : Quatre « régionaux » et un sondage
(2) 20 avril 2005 - Quand les sondages se contredisent, Roland Cayrol insulte et Christophe Barbier prophétise : Haro sur Bourdieu et vive le printemps !.
(3) Les intentions de vote frénétiquement collectées et avidement commentées. Mais on peut légitimement se demander ce que valent de telles informations : Les coûts cachés des coups de sonde (1)(fichier .pdf en fin d’article).
(4) Des baromètres qui s’affolent. Des changements qui ne changent pas. Bref, en guise de résultats, des artefacts : Les coûts cachés des coups de sonde (2) : « tout bouge, rien ne bouge... »](fichier .pdf en fin d’article).
(5) Quand viennent le jour du scrutin et ses lendemains. Une occasion pour les sondologues de chanter victoire. A cette belle assurance, on peut opposer au moins quelques bémols : Les coûts cachés des coups de sonde (3) : « Exclusif : les sondages ne se sont pas trompés. » (8 juin)