Alexandre Adler, " groupe multimédia à lui tout seul ", passe " bruyamment " le " mur du çon ", selon le "Canard enchaîné" (23 juillet 2003). Dans sa " chronique " sur France Culture (21 juillet), il offre, à propos des révélations de l’après-guerre d’Irak, une analyse d’une hauteur de vue digne des exigences supérieures de cette station :
" Il est plus raisonnable de penser que ces armes biologiques et chimiques ont existé (...) et pour des raisons que personne n’explique valablement alors qu’elles sont toutes simples : Saddam Hussein craignait que l’utilisation (...) d’armes chimiques aurait (sic) entraîné une riposte des Américains et des Anglais (...) il a regroupé ses armes (...) et a préféré les enterrer profondément (...) ou en détruire un grand nombre (...), ce qui évidemment ridiculiserait Américains et Anglais, on voit d’ailleurs le résultat aujourd’hui. "
Et les " dégâts collatéraux ".