Dans Métro du 29 avril 2002, Philippe Tesson écrit :
« On en connaît des bourgeois nantis qui ont voté Laguiller, des intellectuels snobs qui ont voté Hue, c’est tellement rigolo, c’est tellement peuple. Et pendant ce temps le peuple, le vrai, l’obscur, celui qui souffre, qui trime, qui chôme, le peuple est allé chez Le Pen ou est resté à la maison. A qui la faute ? A nous. Le temps est donc à la responsabilité. » (avec PLPL)
30 avril 2002. Mise à jour : 12 mai 2002.