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L’actualité des médias n°24 (17 au 27 avril 04)

par William Salama,

I. Audiovisuel

 Programmes (1). En rendant compte du Festival Fidoc et suivant les commentaires du MipTV (lire L’actualité des médias n°22), Libération (19 avril) confirme que les chaînes ne jurent actuellement que par le " filon du docufiction ".

France 3 lance un nouveau magazine de reportage (‘‘3600 Secondes’’). Pour protester contre l’attribution de cette émission à "une production extérieure", à savoir Capa, le SNJ -CGT appelle les journalistes de la rédaction nationale à observer, le jour de sa diffusion, une heure d’ " d’arrêt de travail symbolique " .

 Programmes (2). D’ailleurs, Le Parisien (20 avril) consacre un article catastrophé à l’un des effets de la " télé-réalité ", qu’il nomme " l’échographie spectacle ! " (en 3D, en couleur, le DVD du prochain né réalisée par une société n’ayant aucun rapport avec la médecine).

Et pas si loin, en Angleterre : " Channel Four a montré une IVG ", apprend Libération (22 avril)...

 Télévision - Futur - Financement. Paradoxe du progrès. Les nouvelles technologies de diffusion télévisée qui peuvent à moyen terme libérer le téléspectateur (paraît-il) menacent la publicité dans la mesure où il pourra techniquement décider de ne pas les voir - c’est déjà demain : Orange (France Telecom) lance un service de vidéo avec des programmes de TF1 ou MCM, nous apprennent, par exemple, La Tribune et Les Echos du 26 avril.

Parade du libéralisme : contraindre ce consommateur à les voir ... grâce aux nouvelles technologies ! Bill Gates (Microsoft) y travaille (Le Figaro Economie, 16 avril) .

 Canal Plus. Bertrand Méheut, président du directoire du Groupe Canal est interviewé dans Le Monde (20 avril). Il nous informe que son groupe va mieux, pense que son potentiel de croissance est d’un million d’abonnés supplémentaires et se réjouit que Canal a dégagé un résultat d’exploitation positif de 247 millions d’euros, contre une perte de 325 millions en 2002. Bémol (que seuls rappellent Les Echos du 21 avril) : il n’a pas ‘‘dégagé’’ que des bénéfices : " Vivendi Universal (sa maison mère - nldr) a licencié près de 3000 salariés l’année dernière " (dont 150 chez Canal - ndr).

 Canal Plus et TF1. Bertrand Méheut a également évoqué le scénario d’un rapprochement entre TPS (TF1) et CanalSat (son groupe) en déplorant que, si des " analystes " évaluaient son groupe à plus de 6 milliards, " quand on regarde les acteurs mondiaux, on constate que TF1 et Canal+ restent des acteurs de taille moyenne face à des Bertelsmann ou des Murdoch " [1]. Conclusion : " N’y a-t-il pas un moyen de surmonter ces antagonismes ? " (avec TF1 ndlr).

Des moyens, il y en a, mais avant tout rapprochement, un préalable, si l’on décrypte la stratégie de chaque protagoniste, il s’agit être en position de force, remplir sa dot des meilleures chaînes, et, contrôler des réseaux de diffusion.

Un réseau, en voilà un de plus : celui de la vidéo à la demande qui est fortement convoitée par Canal Plus (qui veut racheter le leader sur ce marché Video System pour 10 millions d’euros), sur le credo qu’il s’annonce juteux sur l’ADSL.

Ajoutons que Movie System est actuellement présent aux côtés de ... TPSL , l’offre de haut-débit du bouquet TPS lancé récemment (Le Figaro Economie 22 avril).

TF1 rattrape quant à lui son retard sur l’offre. Le Lay entend : " investir sur les chaînes thématiques devient un réflexe pour 75 % des annonceurs des chaînes hertziennes " (France-Soir, 21 avril). Lors de son Assemblée Générale, la chaîne TF1 a annoncé une hausse de 6,1% de ses recettes publicitaires net (premier trimestre 2004) et la création d’une chaîne documentaire (Ushuaia TV). Et malgré une situation déficitaire, avec la promesse de conserver les emplois, il, a, cette semaine, " fait main basse sur Histoire ". Le titre est du Figaro Economie (20 avril).

Autre épisode de la semaine, des manœuvres hors hertziennes de TF1 : ce que France-Soir (23 avril) appelle le " beau cadeau de TF1 à TPS Sport " [2], chaîne de son bouquet, qu’elle a préférée à Eurosport (pourtant plus chargée en abonnés) pour diffuser le match de football Marseille-Chelsea.

 Le modèle M6. Sur M6, la chaîne pionnière en la matière, les produits dérivés représentent 30 % à 35 % du chiffre d’affaires, et même plus de 50 % si l’on inclut sa participation dans le bouquet satellitaire TPS et les chaînes thématiques (Le Monde du 21 avril). " Le modèle c’est M6 ", explique Andrew Buckhurst, le porte-parole de RTL Group.

 Guerre M6/TF1. Nouvel avatar dans la course à l’annonceur. L’émission des " Colocataires " de M6 ratatinée par " La Ferme " de TF1 est déprogrammée de l’access prime time pour squatter la tranche 17h55. Au-delà du camouflet, c’est le manque à gagner publicitaire qui motive la chaîne de RTL Group (11, 3 % de part de marché seulement contre 36,2 % pour TF1, selon Le Point du 22 avril). TF1 s’acharne cependant sur son adversaire en saisissant " le CSA et le Syndicat de la presse magazine et d’information pour savoir si M6 avait bien le droit " de contre-programmer (Le Figaro Economie, 22 avril).

 Audience des radios. Colère de Cavada. NRJ et RTL cumulent aux environs de 12,1 % de part d’audience. Les stations de Radio France " résistent ", note Le Figaro Economie du 17 avril. Mais si l’on en croit Le Canard Enchaîné (21 avril), cela ne suffit pas. Il relate une grosse colère de Cavada insultant les grévistes du début de l’année (" écervelés, imbéciles, irresponsables, autosuicidaires " - sic).

 Connivences. Seconde colère de Cavada ? La présidence d’Arte promise par Chirac à Aillagon ? C’est ce que croit savoir L’Express (19 avril). Le Point (22 avril) affirme quant à lui que Jean-Luc Hees se dirige, du public au privé, vers la présidence d’Europe 1 (merci Jean-Luc Lagardère), ce qui n’est pas du goût de Jean-Marie Cavada (rebelote).

II. Presse Ecrite & Edition

 Presse quotidienne/ appel. Le bureau fédéral de la Filpac-Cgt met en demeure l’Etat de mettre en place un plan pour la presse quotidienne (" contre les trusts " et sa dépréciation, " ravalée au rang de prospectus payés par des gratuits ") et appelle à une mobilisation générale (Les Echos, 19 avril).

 Distribution. Les patrons de la presse quotidienne, réunis sous l’égide du SPP (Syndicat de la Presse Parisienne) [3] présidé par Yves de Chaisemartin (Socpresse), se penchent sur le problème de la diffusion nationale, en proposant le test de nouveaux points de vente comme les hôpitaux et stations-service et, pour Paris, la création d’un nouveau réseau de distribution qui serait géré par une filiale d’Hachette (Lagardère) et les NMPP (Les Echos, 21 avril). En filigrane, et malgré les 28 millions, se joue sur le dos des kiosquiers une bataille de position entre le SPP des quotidiens et l’APPM (Association pour la Promotion de la Presse Magazine), ajoutent Les Echos du 19 avril.

Ce faisant, le SPP se prépare à de " difficiles négociations " (Les Echos, 21 avril). Utile ? Ce sera en effet difficile de se mettre d’accord avec les NMPP qui doivent lâcher 28 millions d’euros pour les kiosquiers et libraires mais pinaillent sur la façon de les distribuer (Les Echos, 21 avril ou Le Figaro Economie, 26 avril).

Difficile aussi de déloger le hors-presse (les " produits collatéraux " disent Les Echos du 18 avril comme ils écriraient " dommages collatéraux ") qui polluent les kiosques. Surtout lorsque dans les faits, des membres du SPP ne vont pas dans ce sens. La newsletter de CB News du 20 avril indique ainsi que maintenant L’Equipe Magazine (groupe Amaury) va tester à son tour la vente d’un DVD, tandis que Le Figaro relance son offre DVD du week-end [4] moyennant 3 euros de plus à ajouter dans son panier déjà bien garni (Figaro, Figaro Magazine, Figaro Madame). A sa décharge, il faut rappeler que lui n’oblige pas à tout acheter, contrairement au Monde et son " 2 ".

Et, surprise, voici que L’Express sort ce 26 avril son numéro avec le DVD du film " Indochine ".

 Gratuits. Lors de l’annonce de leurs prévisions annuelles au premier trimestre 2004, Spir Communication (20 Minutes) fait très " bonne impression " (La Tribune, 22 avril), il espère toutefois, rappellent Les Echos (26 avril) être à l’équilibre en 2006. Métro International réduit quant à lui des pertes et se rince en France (recettes publicitaires en hausse de 157 %) - La Croix, 23 avril.

 Prisma Presse. Axel Ganz, patron de la branche édition de Bertelsmann, devenue le deuxième groupe de presse magazine français (19 titres, 270 millions d’exemplaires) derrière HFM et devant EMAP, irradie. Et il compte accélérer : déclinaison de ses " marques ", nouveaux lancements " innovants " de " grands magazines ". Tels que Télé 2 Semaines. Ainsi Prisma Presse se reprend à rêver - titrent Les Echos, 27 avril. Sa méthode ? " Frapper vite et fort " (La Tribune, 27 avril).

 Presse quotidienne régionale et Socpresse.. Directeur de la rédaction de L’Equipe, puis tout court du Parisien (Amaury), puis d’I-Télévision (Vivendi Universal), et jusqu’en novembre 2003 de l’information de RTL (Bertelsmann), Noël Couëdel, chevalier de la Légion d’honneur (précise Le Figaro Economie du 27 avril), prend la présidence du pôle Ouest de la Socpresse (Le Courrier de l’Ouest, Le Maine Libre et Presse-Océan).
Fin des rumeurs de vente du pôle Ouest, qui restera dans le giron de Dassault (La Tribune, 27 avril) et retour aux " origines " de ce Nantais (Le Figaro Economie).

 Presse Féminine et fonds d’investissements. Environ 200 000 ventes pour le numéro un d’Esprit Femme, un petit format commercialisé à 1 euro pour sa période de lancement (éditeur Holger Wiemann) - Stratégies Newsletter (22 avril).

Le groupe Maire Claire veut grossir : il est sur le point de racheter les quatre derniers magazines du fonds d’investissements Média Publications selon l’AFP du 27 avril. Mais fait auditer avant toute décision.
Le SNJ-CGT de Média Publications dénonce " une nouvelle opération financière menée par un fonds d’investissements et cette concentration qui laisse craindre des mesures sociales importantes " (Les Echos, 27 avril).

 Presse Masculine. Un topo sur le marché presse masculine que se partagent HFM (Entrevue, Maximal), EMAP (FHM et Max) dans " La presse masculine séduit son lectorat sans le fidéliser " (Le Monde, 23 avril).

 Presse Eco-fi. CB News (26 avril) détaillant son évolution, sa diffusion et pagination publicitaire, tire les portraits des protagonistes de la presse éco-fi (" en quête de reprise ").

  Tribune Juive. Liquidé en 2003, l’hebdomadaire ré(a)pparaîtra au mois de septembre mais en mensuel et sous le nom moins visible de JT. Retour proposé par la Financière multimédia de Jacques Besnaïnou et Yvan Levaï (France-Soir, 26 avril).

 Tendance / Tous journalistes ? Depuis Marianne, il n’y avait pas eu de nouvel hebdomadaire d’information générale. Profitant certainement de la vague de méfiance envers les médias, voici que sort Citron, ne se nourrissant que de contributions de non journalistes qui, pour la modique somme de 30 euros, pourront voir leurs contributions publiées. Des petits soldats au grand néant éditorial ? A voir, lorsqu’on se souvient du flop de Tous (ce mensuel quasi mort-né qui avait pour ambition de ne donner la parole qu’à des anonymes et de ... durer).
Paris-Match dans " Tous journalistes ! " salue ce " vrai " newsmagazine des lecteurs mais sans évoquer ce qui semble être aussi un système de publication à compte d’auteur (22 avril).

- Cession d’Editis. Le fonds Wendel Investissements (du Baron Seillières) confirme officiellement son intérêt pour Editis (Le Figaro Economie, 22 avril). Arrive dans la queue, parmi les 5 à 10 candidatures (La Tribune, 22 avril) : Eurazeo dont on lira l’interview du président du directoire dans Le Nouvel Observateur (22 avril). Mais Eurazeo, kesako ? Le ... fonds d’investissements du groupe Lazard. Le Monde (23 avril) voit toujours Media Participation comme favori, " soutenu par ses actionnaires comme Axa et Michelin, avec l’appui de la société générale ". A noter que Gallimard réapparaît dans ce " bal de prétendants ". Si Lagardère doit céder 60 % de l’édition en France, il n’abandonne pas pour autant ses vues qui sont de " poursuivre le développement de sa filiale Hachette Livre à l’international ". Hodder, maison d’édition britannique du mal portant WH Smith, l’intéresse (Les Echos, 23 avril et Le Monde, 26). Enfin, lire cette enquête terrain de Libération (26 avril) dans " ce réseau de distribution qui vaut de l’or " (" l’antre du livre, visite d’Editis avant la cession ").

III. Et pour finir...

 Lois liberticides. " L’information en ligne sous pression " titre Libération (21 avril) depuis qu’un amendement de la LCEN (la loi sur la confiance dans l’économie numérique) prévoit de rendre les articles attaquables en justice " ad vitam aeternam ", un amendement introduit par le sénateur René Trégouët (UMP, Rhône).
Le SPP (Syndicat de la Presse Parisienne) demande son retrait depuis le 27 (Libération).

 Expulsion de l’Imam de Lyon. Au 23 avril, seuls Le Monde sous forme de brèves et Daniel Schneidermann (dans sa rubrique de Libération) ont évoqué la dénonciation par Lyon-Mag de ce coup politique et médiatique de Matignon : " La rédaction s’interroge sur une éventuelle "manipulation", en affirmant avoir récemment reçu "un coup de téléphone étonnant, d’un cabinet ministériel qui, visiblement, se préparait à monter un coup médiatique", quelques jours avant que l’entretien de l’imam, publié depuis trois semaines, ne soit repris à la "une" du Figaro. " (Le Monde, 23 avril). Et Schneidermann : " Pourquoi Lyon Mag, qui révèle cet appel, n’indique-t-il pas de quel cabinet il s’agit ? Pourquoi le gouvernement agit-il seulement aujourd’hui ? Et pourquoi ce tambourinage médiatique, alors qu’on apprend qu’une douzaine d’imams étrangers, dans la plus grande discrétion, ont été pareillement expulsés au cours de la dernière année ? "

 Publicité/ antipubs / gène de la presse. Le lobby de la publicité aura toujours dans la presse le dernier mot. Illustration, encore, cette semaine : " Face aux antipubs nous devons réagir " dit ainsi Hervé Brossard, président de l’AACC et Pdg de DDB France (Stratégies, 23 avril).

A priori, une réaction qui passe par la diversion : " l’entreprise (est la) véritable cible des antipubs " relaient Les Echos (23 avril) avec une interview du médiatique philosophe André Comte-Sponville : " A défaut de pouvoir combattre le capitalisme, on s’en prend à son symbole ". Les Echos qui entonnent (le 26) que " le marché de la publicité se redresse enfin " (+ 3,2 %).

Le 26 aussi, " malgré la vague antipub, les marques ont de beaux jours. Les consommateurs toujours accros " selon un sondage, dans Le Figaro Entreprises.

Remarquons que Le Monde (24 avril) ne sait plus qu’ouvrir ses rubriques analyses pour évoquer le mouvement antipub (cf. L’actualité des médias n°23)...

On comprend la gêne de la presse qui ne veut pas mordre la main qui la nourrit. Selon L’Express (26 ; rubrique " Les Indiscrets "), " le fort respectable " (sic) Financial Times a indiqué au groupe Alstom que " la rédaction du quotidien apprécierait que le français achète de manière ferme de la publicité dans le numéro spécial consacré à l’énergie ". Sans commentaires.

 Al-Jazira. Dans France-Soir (23 avril, " Une "), enquête in situ (si si), interviews d’experts et 3 pages sur la " chaîne qui colle à l’opinion " et à laquelle " Washington déclare la guerre ".

 Le " malgré tout ", nouvelle tendance du Figaro ? Le 17 avril, sur l’audience des radios, avec ce constat que " malgré les dix jours de grève les stations de Radio France résistent " et le 20, sur La Poste qui " en dépit des grèves du printemps 2003, (...), devrait annoncer un résultat multiplié par 6 ".

 Altermondialisme. Le Nouvel Observateur (21 avril) s’en prend gratuitement aux " jackpot des alters " en comptabilisant les bénéfices des produits éthiques (" s’habiller " et " manger ") - et éditoriaux (" lire "). Mais rien, ceci dit, sur la couverture des médias du mouvement.

A contrario, moins caricatural et plus concret, cet article sur les " altercolas " des " pays en voie de développement qui menacent l’hégémonie d’image de Coca-Cola et Pepsi-Cola " (Le Monde, 22 avril).

 Critique des médias / ressources. Chronique d’une guerre civile par Eric Hazan, " un journal contre la désinformation et l’apathie ambiante ", tel que le présente Télérama du 21 avril, qui interviewe son auteur (et auto éditeur). Une vision intéressante : " Je suis sidéré par le goût actuel pour la fragmentation. (...) des rubriques dans la presse... Cet éclatement est symbolique de la pensée d’aujourd’hui. Lorsqu’on s’intéresse aux événements selon leur chronologie, ils acquièrent une violence que notre société refuse. Les dissocier, c’est les affaiblir ".

 " Au revoir Jean-Pierre Gaillard ". Titre amusant pour une pétition sérieuse d’Attac Strasbourg pour dépolluer les ondes publiques.

 Kouchner. " L’énigme " du pourtant très exposé Kouchner (que les " Français plébiscitent ") et qui sort un livre avec Cohn-Bendit : une sortie que nul ne peut ignorer pour peu que l’on soit équipé d’yeux ou d’oreilles occupe et motive cinq pages du Nouvel Observateur cette semaine (22 avril).

 
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Notes

[1" Le groupe Bouygues vaut entre 9 et 10 milliards et TF1 entre 6 et 7, comme le groupe Lagardère " ajoute-t-il.

[2Et L’Equipe, un " coup publicitaire ".

[3Le Monde, Le Figaro, La Tribune, l’Equipe, l’International Herald Tribune, Les Echos, Le Journal du dimanche, La Croix,
L’Agefi, France Soir, L’Humanité, Libération
et Paris-Turf.

[4Et à grand renfort de marketing. " Afin de soutenir le lancement de l’opération en kiosque, Le Figaro a développé une campagne de promotion originale qui verra 25 000 marchands de journaux recevoir aujourd’hui même un message téléphonique préenregistré dans lequel Patrick de Carolis les enjoint à se mobiliser pour faire de cette deuxième opération un nouveau succès. Des spots télévisés ont démarré hier sur TF 1 et France 2, et s’étendront à France 3, France 5, Canal +, LCI, i Télévision et Paris Première. Enfin, une campagne de communication en presse, en affichage ainsi que des animations sur les lieux de vente sont également prévues " (Le Figaro Economie, 23 avril). Vu à la télé également, le coup de promo dans le JT de TF1, samedi, 24 avril.

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