Accueil > (...) > Quel financement ?

Appel à dons : pour continuer, Acrimed a besoin de vous !

par Acrimed,

La crise du Covid rend toujours plus nécessaire une critique des médias indépendante et exigeante. Pour poursuivre notre combat, nous avons besoin de votre soutien !

Dans la période que nous traversons, nous ne mettons pas la critique en veilleuse. En témoignent nos récents articles consacrés au traitement médiatique de la crise du coronavirus. Plus que jamais, l’information comme bien public de qualité doit être une exigence démocratique majeure. C’est le sens de notre combat.

L’équilibre des finances d’Acrimed repose essentiellement sur les dons et les adhésions. C’est pourquoi, si vous en avez la possibilité, n’hésitez pas à nous soutenir !

Pour cela, il existe plusieurs possibilités : vous pouvez faire un don à l’association, soit ponctuellement (paiement sécurisé par carte bancaire, Paypal, chèque ou virement) soit régulièrement (prélèvement automatique, chaque mois ou chaque année).

Vous pouvez nous soutenir en adhérant à l’association Acrimed : le paiement de la cotisation vous permet d’être informé et de participer pleinement à la vie de l’association, et de la soutenir financièrement, ou en vous abonnant à notre revue trimestrielle, Médiacritiques, dont le dernier numéro vient de sortir. Les cotisations et les dons à Acrimed ouvrent droit à une réduction d’impôt de 66 % de leur montant.



Vous pouvez aussi faire circuler cet appel à soutien auprès de vos proches. Un grand merci à vous pour votre soutien dans cette période difficile... pour que vive la critique des médias !


L’équipe d’Acrimed


***


En 2019, nous avons publié plus de 200 articles (en accès libre et gratuit) sur notre site Internet, et quatre numéros de notre revue Médiacritiques – dont nous avons par ailleurs renouvelé la maquette en fin d’année. Nous avons co-édité avec Agone un livre sur le traitement médiatique de l’entre-deux-tours des élections présidentielles de 2002 et 2017.

Nous avons également lancé avec des associations, des organisations de journalistes, des médias, des syndicats et des organisations politiques une déclaration commune pour se « mobiliser pour une réappropriation démocratique des médias » qui a recueilli 15 000 signatures, et organisé 4 Jeudis d’Acrimed (réunions thématiques publiques à la Bourse du travail de Paris).

Enfin nous avons effectué une trentaine d’interventions dans des débats, répondu à 10 sollicitations dans les médias et à une audition du Conseil économique, social et environnemental (CESE), participé à 8 manifestations parisiennes et tenu des stands lors de 11 événements.

Et tout cela sans infléchir notre critique, toujours radicale et intransigeante. En témoignent nos publications des deux derniers mois sur le traitement médiatique de la mobilisation sociale contre la réforme des retraites.

Nous tenons à notre indépendance : Acrimed ne perçoit aucune subvention et n’a pas recours à la publicité. De plus, nous avons fait le choix d’un site gratuit, accessible sans condition. L’action de l’association repose donc avant tout sur la générosité de nos sympathisant·e·s : les ressources d’Acrimed étaient de 165 000 € en 2019, dont plus des trois-quarts issus des dons et adhésions, soit 125 000 €.

Ces rentrées d’argent correspondent au minimum qui nous permette de fonctionner : nos dépenses se limitent à la rémunération de trois salarié·e·s à temps plein et aux achats courants (loyers du local, frais d’impression et d’affranchissements, frais d’hébergement du site Internet, etc.). En suivant ce lien, vous trouverez toutes les informations sur notre association et son financement.


Vous souhaitez soutenir Acrimed ?

 Devenez membre de l’association !
(Cotisations De 5€ à 70€ par an)

 Vous pouvez aussi faire un don.


 
Acrimed est une association qui tient à son indépendance. Nous ne recourons ni à la publicité ni aux subventions. Vous pouvez nous soutenir en faisant un don ou en adhérant à l’association.

A la une

France Inter, Sciences Po et la Palestine : « nuance » ou calomnie ? (3/3)

Comment France Inter défigure un mouvement étudiant.