Très ancienne auditrice de France Culture, fidèle et passionnée de toutes les anciennes émissions. Travaillant dans un théâtre d’Avignon (toute l’année), j’ai invité dans ce théâtre (Le Moulin à Paroles), mon ami (depuis) Claude Mettra, qui m’a apporté sur le plan culturel une richesse extraordinaire. J’aimais également les débats, les disputes. Depuis, c’est très rare que j’écoute France Culture, je me rabats sur France Musique.
I.J. (84)
J’étais un auditeur assidu de France Inter. Les dérives m’ont poussé à me diriger vers France Culture, qui hélas, à son tour prend les mêmes options. Après France Culture, radio de qualité par excellence, que restera-t-il ?
P.M. (05)
Des sujets traités de façon succincte, ne permettant pas à l’esprit critique et à l’opinion de l’auditeur de se construire. Est-ce une question de temps, de politique ou d’argent ?
Z.H. (84)
Encore plus d’intellos-rive-gauche-St-Germain qu’avant. De grâce, on n’a pas besoin d’avoir Alexandre Adler qui pontifie sur tout ! Il y a d’autres spécialistes - spécifiques par secteur - qui pourraient avoir des choses, beaucoup de choses intéressantes à dire.
L.G. (Suisse)
Je ne dis pas non à un renouveau : une radio doit rester en phase avec son époque. Cependant, France Culture peut et doit rester un espace " autre ", par la qualité, la profondeur de ses émissions et le " temps donné " pour une vraie parole. Le risque avec la tendance prise est une banalisation de France Culture et une perte de cette " altérité " (par rapport à la dictature du marché) qui fait tout son prix.
M.E. (Suisse)
J’étais formé par France Culture. Maintenant, c’est une société vide. C’est scandaleux.
P.B.
Il y a trop de musique, plus assez d’émissions littéraires et toujours trop d’émissions religieuses le dimanche matin. A. Finkielkraut devient de plus en plus pénible. Mais il est toujours agréable de s’endormir avec la voix d’A. Veinstein.
E.S. (54)
Suppression de l’émission d’Antoine Vial le mardi soir Archipel Médecine de 1 heure. Bon débat. Le remplacement par Monsieur Caquet à 10h de une demi-heure, bien que de qualité, ne comble pas le vide laissé. Une augmentation horaire serait souhaitable.
R.J. (37)
Je trouve que les émissions se sont raréfiées, c’est-à-dire que le contenu est diminué. Cela donne un aspect haché ; bien sûr il faut " plaire à tout le monde ", mais de là à niveler par le bas. Ce n’est pas cela qui fait plus d’audience !... hélas.
Pourquoi cette année n’y a-t-il pas de " couverture " médiatique du festival d’Avignon ? .comme lors des années antérieures. Pourquoi avoir détrôné ces retransmissions, est-ce pour mieux " taire " les problèmes de fracture sociale et donc culturelle ?
Que devient dans ce cas la question fondamentale de la transmission, qui est pourtant ce qui permet d’empêcher le manque de cohésion - le peuple, les gens ont besoin de se connaître, donc de savoir ce qui se passe !! dans le domaine du théâtre et les autres. Merci d’en tenir compte.
M.B.
Des émissions comme Panorama, Les Perspectives Scientifiques, émissions débats. Changement d’horaires de Jean Lebrun. Trop de formatage. Disparition de Dadoune, Antoine Spire. D’autre part, réception de plus en plus perturbée.
A.G. (38)
Je ne suis pas mécontente, mais les émissions ne sont plus passionnantes !! Pas assez vivant dans l’ensemble. J’avais laissé tomber en 97. Je reprends un peu !
La TV, je connais, la radio aussi. France Culture, c’était le petit plus. C’est de moins en moins le petit plus.de différence que l’on écoute plus.
C.C. (69)
Je regrette vivement la disparition programmée d’un France Culture à qui je dois tout ou partie de mon éducation ou de mon éveil au civisme et à la conscience politique. Et je n’oublie pas l’éducation culturelle par des intervenants de qualité aujourd’hui disparus. Laure Adler, que j’ai beaucoup aimée au temps où elle faisait de la radio, me déçoit beaucoup quand je vois ce qu’elle a contribué à faire de France Culture, qui n’est pas une radio élitiste, mais un des derniers endroits du service public qui contribuait à une éducation citoyenne de qualité.
L.S. (32)
Je n’écoute pratiquement plus France Culture. Nous disposions d’une radio intelligente et originale. Avec l’espoir de me tromper et que l’avenir nous fera retrouver une radio dont nous serons fiers.
J.L.B. (94)
Fidèle auditrice de France Culture, avant même que la station s’appelle ainsi. J’ai constaté une diminution de la qualité des émissions à partir de 1997. J’ai aussi regretté que des journalistes comme Antoine Spire et d’autres aient disparu des ondes sans explications.
M.L. (25)
Préférence pour l’unité et maintien des intervenants, Spire,..
G.S. (11)
Trop d’évènements séquentiels, pas assez de transmission du savoir, ce qui aboutit à un verbe stérile. On attend mieux, et que la culture rayonne dans tous les domaines, quelques soient les clivages.
B.M. (13)
Je proteste pour la mauvaise réception, voire réception nulle à Montélimar.
E.P. (Montélimar)
Je regrette le départ de certains journalistes, comme Antoine Spire, de certaines émissions, qui par leur longueur permettaient une véritable rencontre. De toute façon, j’ai l’oeil.
M.H. (84)
Je n’écoute France Culture que pour certaines émissions. Midi-13h30. Samedi matin. 17h30 A Voix Nue. Après une période de nostalgie pour l’ancien Panorama, j’apprécie La Suite dans les Idées, la compétence des animateurs, la qualité des invités, j’apprécie aussi l’émission de Colombani le Samedi (et celle de Finkielkraut).
S.D. (21)
J’écoutais avec beaucoup de bonheur Panorama et maintenant plus rien, plus de rendez-vous précis, sinon les caprices de Monsieur S.B.
J.C.R. (33)
Je n’écoute pratiquement plus la radio depuis cette période. Ce qui m’a particulièrement frappé, c’est le formatage des émissions genre " zapping ", la disparition de certaines émissions de création, par exemple Les Nuits Magnétiques, Le Bon Plaisir. C’est très grave.
A.R. (75)