C’est vrai : le moment de ce dernier appel est peut-être mal choisi. Celles et ceux qui reviennent de vacances avec le gousset vide et celles et ceux qui ne sont pas partis, parce qu’ils n’en avaient pas le moyens, auront quelques difficultés à souscrire. Et ce n’est pas en nous consacrant les 6 centimes d’euro de diminution du prix de l’essence, en piochant dans le montant de la faramineuse augmentation du SMIC ni même en détournant une partie de l’allocation de rentrée scolaire que l’on peut espérer venir en aide à Acrimed. Mais tout le monde n’est pas acculé à ces extrémités, même si, pour les moins infortunés, sonne l’heure des impôts locaux et de la taxe foncière.
Et nous ne pouvons que répéter à destination de celles et ceux qui ne l’auraient pas encore lu (ou qui l’auraient oublié…), ce que nous vous disions il y a cinq mois…
Toutes les activités d’Acrimed sont bénévoles. Notre site et nos listes de diffusion publiques sont gratuits. Nous ne percevons aucune subvention. Nous n’avons recours à aucune publicité. Nous n’avons pas d’autres ressources que vos dons et les cotisations de nos adhérents.
Notre contestation de l’ordre médiatique existant, du moins telle que nous la comprenons, n’est pas un produit destiné à de simples consommateurs de contestation. Si, lectrices et lecteurs de ce site, vous souhaitez que notre activité se poursuive avec l’intensité qu’elle a acquise et se renforce, cela dépend aussi de vous.
Acrimed emploie un secrétaire administratif. Il a en charge la coordination de toute l’administration de l’association et le suivi de ses activités. Or, nous avons impérativement besoin d’un-e second-e salarié-e pour coordonner l’observation des médias, la rédaction des articles pour le site, l’enrichissement de son contenu, la préparation du magazine Médiacritique(s), etc.
40 000 euros c’est ce que coûterait l’embauche à temps plein d’un-e secrétaire de rédaction pour un an, cotisations salariales et patronales comprises.
À défaut d’un-e secrétaire de rédaction permanent-e, la rédaction elle-même, composée exclusivement de contributeurs bénévoles et, par conséquent, intermittents, ne peut pas fonctionner. À défaut des 40 000 euros dont nous avons besoin, le développement de notre association sera entravé, la confiance que nous accordent nos lecteurs (dont témoigne l’audience croissante de notre site et de notre magazine) sera déçue et le succès des Nouveaux Chiens de garde ne connaîtra pas, parmi les suites qu’il mérite, celles qui dépendent de nous.
N’attendez pas une réforme fiscale, en espérant qu’elle vous permettra de bénéficier des ressources supplémentaires !
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Patrick Champagne, Yannick Kergoat et Henri Maler
pour le collectif d’animation d’Acrimed