On n’a (presque) rien inventé. La preuve [1] :
« la question d’une France arc-boutée sur ses principes et rétive aux évolutions imposées par la mondialisation revient comme un refrain d’immobilisme. » (Hervé Chabaud, L’Union, 23 mars)
« Tout le monde délire aujourd’hui dans ce pays sans pères ni repères. Les étudiants qui ne veulent plus (dans leur grande majorité) étudier, la gauche qui ne cesse de culpabiliser tout le monde pour asseoir son pouvoir sur le "politiquement correct", la droite pétocharde et incapable de s’unir [...], les syndicats figés dans des attitudes archaïques. » (Hubert Coudurier, Le Télégramme, 31 mars)
« Il y avait quelque inconséquence à pousser les jeunes sur le pavé en en faisant les supplétifs des bataillons syndicaux essoufflés. » (Jacques Camus, La République du Centre, 17 mars)
« On ne peut pas attendre un drame pour mettre un terme à cette chienlit version 2006. » (Hervé Chabaud, L’Union, 8 avril)