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Sur la toile (4)

Analyses critiques de la pub sur divers sites

 Sur le site Iconique.net  : une analyse de la publicité pour le parfum "J’adore" de Christian Dior (initialement publiée sur un autre site, et réctualisée en juin 2007)

- Présentation de l’analyse

- L’analyse d’Erwann en 18 pages, téléchargeable au format PDF.


- Sur le site d’antipub
 : Le Monde bascule

« Le rôle du journal Le Monde dans le domaine de la publicité est de plus en plus discutable : pour réagir, voici deux textes extraits de R.A.P.-Echos n°29 (octobre 2000). Depuis l’envoi de ce numéro, Le Monde en rajoute avec un article scandaleux sur le métro de Lille. » La suite : [http://www.antipub.org/archives/documentation/index.php?page=lemondebascule]



 Sur le site de la Vache Folle :
"50% de contenu rédactionnel", par Marie Bénilde


« En théorie, les choses sont claires : aux journalistes l’espace rédactionnel et aux publicitaires l’espace publicitaire. La charte des devoirs du journaliste proscrit tout mélange. C’est compter sans l’inventivité des publicitaires dont la fonction est de déborder de leur cadre conventionnel pour imposer, de façon parfois insidieuse, un discours marchand. (...)

(...) Au-delà de 50 % de publicité sur l’ensemble de sa pagination, un journal peut (...) se voir retirer son précieux numéro de Commission paritaire qui lui octroie nombre d’avantages économiques. L’effet est donc mécanique : plus la publicité augmente, plus le journaliste doit produire. 4 000 pages de publicité par an se traduisent automatiquement par 4 000 pages de "rédactionnel". Et, comme les patrons de presse se refusent à embaucher devant ce qu’ils considèrent comme une aubaine conjoncturelle, le journaliste devient une sorte de victime de la croissance. Il compte moins pour son apport intellectuel que pour sa capacité de production. Aux États-Unis, l’afflux de publicité dans les magazines consacrés à la "nouvelle économie" - des pavés de 400 pages - a même conduit certains éditeurs à recycler les mêmes articles d’un numéro à l’autre, incapables qu’ils étaient de répondre à la cadence infernale imposée par la pub. »



 Sur le site du
Nouvel Observateur (Semaine du 03 mai 2001 — N°1904 — Notre Epoque) "Ils luttent contre la dictature des marques. Les nouveaux résistants"

« Casseurs de pub, agitateurs antimarques, ils sont de plus en plus nombreux à se battre contre la tyrannie des logos. Enquête." » La suite : [http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p1904/articles/a43077-.html] (Attention ce lien est peut-être provisoire)

 
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