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Pour une information et des médias pluralistes

Au Plazza Victor Hugo, 6 rue Gambetta, Besançon, à 20 H30

 1er décembre 2005 : « Désentubages Cathodiques » de Zalea TV, suivi d’un débat avec Sébastien Chomy

 12 janvier 2006 : « Pas vu, pas pris » de Pierre Carles, suivi d’un débat avec Renaud Lambert de l’Observatoire Français des Médias.

 9 février 2006 : « Enfin pris » de Pierre Carles, suivi d’un débat avec Henri Maler d’ACRIMED (Action-CRItique-MEDias)

Cycle ciné-débats sur les médias
Pour une information et des médias pluralistes

Quand les multinationales s’approprient les principaux canaux de diffusion de l’information et font l’information, que reste-t-il de la liberté d’expression ?

En France, Dassault et Lagardère , Bouygues et Vivendi (industriels vivant de marchés publics dans l’aéronautique, l’armement, le béton et les services urbains) se partagent la quasi-totalité des chaînes télévisées, presse écrite, maisons d’éditions, et radios. La liberté de la presse est menacée par ceux-là mêmes. La démocratie des médias passe par la soustraction de l’emprise économique et politique sur l’information. Les évènements de Clichy nous ont rappelé récemment comment en période pré-électorale certains politiques créent l’événement par quelques images et explications bien ciblées.

L’information est un bien commun, et le droit à l’information suppose de nouveaux droits pour les journalistes et les producteurs d’informations indépendants.

Pour participer à la nécessaire critique de la bastille médiatique, AARRG, ATTAC Besançon, Charivari, l’Observatoire Bisontin des Médias, Radio Sud, et le Syndicat National des Journalistes vous proposent le programme Tir Nourri sur la Télé, trois films que vous ne verrez jamais sur votre petit écran...

Les co-organisateurs sont tous concernés par la problématique du monopole médiatique : associations alter-mondialistes, producteurs de journaux alternatifs, radios libres, ou journalistes embastillés...

 AARRG (Apprentis Agitateurs pour un Réseau de Résistance Globale)  ; Arrg ; aarrg-besac@dixinet.com

 ATTAC (Association pour la Taxation des Transactions et l’Aide aux Citoyens) Dans sa lutte globale contre l’ordre néo-libéral, ATTAC conteste le traitement de la contestation médiatique, refuse les caricatures de débat démocratique, entend informer sur la désinformation et étendre et renforcer le service public. ATTAC Besançon, 5 b rue Berlioz, 25000 Besançon, tél. : 03 81 62 22 39.

 Charivari  : Charivari est une association qui s’attelle depuis décembre 2001 à la publication d’une revue alternative et locale se voulant un outil de compréhension, d’analyse et de critique des dysfonctionnements du monde. Le journal alternatif bimestriel, est autofinancé et réalisé par des bénévoles. Chaque article, fruit d’un échange collectif, doit être compréhensible par le plus grand nombre, afin que le lecteur puisse l’intégrer dans sa propre réflexion, que ce soit pour la poursuivre ou l’amorcer. Charivari, 8 rue Battant 25000 Besançon].

 L’OBM (observatoire Bisontin des Médias)  : Récemment créée sur Besançon, l’association a pour vocation la critique des médias locaux et nationaux, de se faire relais de l’Observatoire Français des médias et d’ACRIMED, d’organiser des manifestations d’information sur la désinformation.

 Radio Sud Besançon  : A l’origine, les objectifs de la radio sont définis comme permettant de "resserrer les liens franco maghrébins en faisant le Maghreb, les habitudes et les traditions de ses habitants aux français et pour les maghrébins en leur permettant une meilleure intégration dans la société française en leur donnant les moyens de mieux la comprendre, de profiter de ses avantages". Depuis l’objectif s’est élargi. Dès 84, une mosaïque culturelle est créée, la radio est rejointe par de multiples structures associatives d’autres communautés : espagnole, turque, portugaise... Radio Sud se définit aujourd’hui comme un lien permanent d’échange et d’apports des différents composants culturels et sociaux". Elle est devenue " un espace d’échanges interculturels ". D’une radio communautaire, elle devient essentiellement généraliste.

 Le Syndicat National des Journalistes, majoritaire dans la profession, créé en 1918 après la censure accompagnant la grande guerre... SNJ

 
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