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Lire : Dans Le Plan B (2006)

Les articles sur les médias parus dans Le Plan B, avec les liens quand ces articles sont, partiellement ou totalement, publiés en ligne sur le site du journal.

N°1 (mars-avril 2006)

 Médias : Qui possède quoi ? (p. 10-11)
Le Plan B vous offre la carte du parti de la presse et de l’argent.

 Boycotter Libération  ? « Heu... Oui... Bah... Non.  » (p. 13)
Le référendum du 29 mai a montré qu’il était possible de remporter une victoire politique malgré les médias et même contre eux. Pourtant, les porte-parole de la contestation continuent d’offrir leurs tribunes et leur caution à des journaux dont ils déplorent la nullité ou, dans le cas de Libération parlant du Venezuela, les mensonges caractérisés. La brigade d’intervention téléphonique du Plan B les a interrogés sur cette contradiction.

 Alain Minc saute sur la TNT. Nouvelles chaînes, vieilles badernes (p. 14)
A travers l’exemple édifiant de la chaîne « Direct 8 » et de son éditorialiste Alain Minc, Le Plan B analyse la multiplication des émissions de bavardage entre journalistes dorés sur tranche, gloseurs professionnels et Narcisses sur le retour.

 Tintin au Congo (p. 16-17)
Sur France Inter, « l’économiste » Daniel Cohen a expliqué aux enfants la mondialisation heureuse. Le Plan B a fait examiner sa copie par un véritable économiste. Verdict : doit redoubler - et travailler !

 EDF : les vraies raisons d’une coupure (p. 18)
Quand le libéralisme fait sauter les plombs... les médias accusent le froid et les résidences secondaires. Le Plan B enquête - Faut-il électrocuter les journalistes ?...

 Le Procès de Jacques Séguéla (p. 20) Les déclarations (réelles) de l’accusé ont stupéfait le tribunal.

 La question sociale ensevelie sous le bla-bla. La gauche qui renonce au combat social se rachète une conscience sur les « questions identitaires ». Mais pendant que les experts saturent les médias de leurs indignations sans lendemain, le gouvernement multiplie les mesures qui frappent l’ensemble des salariés.

 La critique des médias au péril de la récupération (1)
Quand le vent tourne, les vestes se retournent : longtemps ignoré, toujours calomnié, notre combat contre le Parti de la presse et de l’argent (PPA) suscite désormais l’intérêt de responsables politiques et de curés de presse défroqués. Comment discerner ânes et tartuffes ?

N°2 (mai-juin 2006)

 Coups de pieds dans le micro
D’ordinaire, les mouvements étudiants cèdent aux avances de la presse. Ce printemps, une partie des jeunes militants a tenu tête aux journalistes.

 La grève ne fait pas vendre
Un poulet mort est plus télégénique qu’un étudiant qui gigote. Analyse de la médiatisation des débuts du mouvement antiprécarité.

 Le CPE et les grosses têtes (p.10-11)
Petite anthologie des questions les plus talentueuses et les plus impertinentes posées par les éditorialistes au cours du mouvement anti-précarité.

 Le juste prix de la pensée molle (p. 13)
Avez-vous déjà essayé de revendre à n’importe quel prix un livre de Minc, de BHL ou de Joffrin ? Le Plan B a enquêté sur les téméraires internautes qui se lancent dans cette aventure... Tous les moyens sont bons !

 Encore un effort, camarades communistes ! (p. 18)
La question des médias est une question politique. Mais que font les politiques ? Le Plan B analyse la marche en crabe du Parti communiste.

 Le Front populaire contre la presse qui ment (p. 19)
En 1936, le Front populaire eut affaire à des médias qui présentaient bien des points communs avec les nôtres (ils mentaient). Mais la gauche avait son plan...

 Le procès de Franz-Olivier Giesbert (p. 20) « Acquitté ! » Le verdict épargnant le mondain le plus médiatique du moment a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans la salle d’audience. Lisez le compte-rendu des débats pour comprendre. Révision ! révision ! hurlent les nouveaux dreyfusards.

N°3 (juillet-septembre 2006)

Avec le Magazine d’Acrimed n°2. Voir tout le sommaire.

 Gloire éternelle à Edouard Michelin (p 4)Quand le patron d’une entreprise de pneus se noie, la presse pleure à l’unisson. Pourtant, tous les salariés ne regretteront pas le patron adoré. En particulier les syndicalistes.

 Le cimetière des éléphants (p. 5)
C’est le gag du siècle. Edouard de Rothschild, président de France Galop, expédie à l’équarrissage son canasson Serge July, fondateur de Libération. Nouvelle preuve éclatante de l’indépendance de la presse française.

 Le Plan B littéraire (p. 6)
Deux pépites pour notre rubrique « Livres » : la narration du septième entartage de BHL par son auteur, le terroriste pâtissier Noël Godin ; la première critique totalement objective de l’histoire de la critique littéraire, qui dissèque Le Défi du monde, signé Claude Allègre et Denis Jeambar.

 Le sacre de François Pinault (p. 8-9)
En avril 2006, les médias nous invitaient à applaudir le sacre de Pinault. Le patron du groupe Pinault-Printemps-Redoute, installant sa fondation d’art à Venise, démontrait par là même les archaïsmes d’une France bloquée, frileuse, et la nécessité des « réformes ». Les ouvrières de La Redoute relatent l’envers du décor.
La hutte des classes (p. 10-11)

 Philippe Val s’écrase sur la Cordillère des Andes (p. 12-13)
L’omniscient directeur de Charlie Hebdo honore l’Amérique du sud de ses pénétrantes pensées, déjouant depuis Paris les complots ourdis par Evo Morales et Hugo Chávez. Et la vérité, Philippe, dans tout ça ?

 Les petits chaperons rouges de la LCR (p. 14)
La question des médias est une question politique. Mais que font les politiques ? Le troisième volet de notre grande saga étudie l’idylle bouleversante nouée entre un parti révolutionnaire et la presse bourgeoise.

 1946 : l’expropriation est une Libération (p. 15)
Les Résistants avaient eu le temps de réfléchir, dans le maquis. A la Libération, une chose était sûre : il fallait soustraire la presse à la domination de l’argent.

 Le procès d’Arnaud Lagardère (p. 16)« Acquitté ! » Découvrez l’habile système de défense d’un des plus gros patrons français, accusé de trafic d’influence. Pourtant, les pièces de l’accusation ne manquaient pas...

 
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