LES MEDIAS EN GUERRE
Depuis 1991, une même guerre impériale multiplie ses théâtres d’intervention, en dépit de la diversité des motifs invoqués et des enjeux immédiats de chacune des guerres successives (Guerre du Golfe, Guerre du Kosovo, Guerre d’Afghanistan, etc.). Dans cette guerre sans fin, les médias dominants, quand ils n’épousent la propagande d’un des camps en présence, apportent à la guerre menée par l’un d’entre eux le renfort de leur propre propagande.
L’invasion puis l’occupation de l’Irak par les armées américano-britanniques permet de le vérifier : quand ils n’ont pas soutenu ouvertement la guerre, ces même médias se sont bornés à s’opposer à son déclenchement, avant de l’accompagner. Comment ? Avec quels effets ? C’est ce que la critique des médias en guerre, parce qu’elle est une composante essentielle de l’opposition à la guerre doit permettre de comprendre.
Les médias dominants ne sont pas des partenaires : ce sont des adversaires. Quelles conséquences en tirer ?
– A Strasbourg, le 14 mai
Club de la Presse, 76 Allée de la Robertsau, 67000 Strasbourg, à 20h. précises.
A l’invitation de l’Association Les Amis du Monde diplomatique, avec Henri Maler
– A Neuchâtel, le 15 mai
Jeudi 15 mai 2003, à 20h00, Théâtre de la Poudrière, quai Ph.-Godet 18, Neuchâtel, avec Henri Maler
A l’invitation de :
-Association Les Amis du Monde diplomatique Groupe de Neuchâtel et environs (AMD-NE)
-Collectif Urgence Palestine NEuchatelwww.urgencepalestine.ch
- Collectif contre la guerre Neuchâtel