C’est une toute petite brève nichée dans une sous rubrique « Tendances » du dossier « Economie et Entreprises » ( La Croix, 19 mai 2003) intitulée « L’homme et la machine » et portant sur « une des lignes du métro parisien qui n’a jamais cessé de fonctionner, même au pic des arrêts de travail de la RATP ». Il s’agit de la 14, complètement automatisée.
Guillaume Goubert, le journaliste, sous des dehors bienveillants, ne fait pas autre chose que d’avertir les grévistes qu’ils signent leur propre mort : « L’usage abusif du droit de grève auquel on vient d’assister ne peut que stimuler le développement de tels équipements. Et, plus largement, encourager la regrettable préférence instinctive des employeurs à gérer des machines plutôt que des personnes ».
Un appel à la cessation de toute grève ?